Qu'elle soit progressive ou soudaine, la perte de cheveux inquiète de nombreuses personnes. Les causes sont multiples : stress, alimentation, déséquilibres hormonaux, facteurs environnementaux ... Mais saviez-vous que la génétique joue un rôle fondamental dans l'alopécie ? Face à ce constat, une solution innovante a émergé : le Trichotest Fagron. Ce test ADN identifie avec précision les causes génétiques de la chute des cheveux et propose un traitement sur mesure, adapté à chaque profil.
92% des hommes entre 25 et 34 ans portent la barbe
Porter la barbe est devenu le nouveau rite de passage à l'âge adulte chez les trentenaires
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L’alopécie est un motif fréquent de consultation. La plupart du temps, il s’agit d’une chute des cheveux passagère et sans conséquence. Mais que faire lorsque ce phénomène devient chronique et porte atteinte à votre image ? Découvrons les soins de médecine esthétique qui vont redonner vigueur et beauté à votre chevelure !
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Dans l’imaginaire collectif, la chevelure est un symbole de féminité et de séduction. Pas étonnant dès lors que perdre ses cheveux est souvent vécu par les femmes comme une catastrophe qui porte atteinte à leur identité. La vie des femmes est rythmée par des changements hormonaux parfois très brusques. Ces périodes comme la grossesse ou la ménopause constituent des périodes critiques pour votre chevelure. Plutôt que de céder à la panique, voyons les solutions qui existent pour stopper la chute...
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D'après un sondage réalisé par OpinionWay pour Bic Shave Club, le club de la célèbre marque française de rasoirs, une majorité d'hommes entre 25 et 34 ans portent la barbe.
Pourquoi et comment cette mode s'est-elle imposée chez les jeunes adultes ?
Dans cet article :
La barbe : un conflit intergénérationnel
Le barbu d’aujourd’hui fait dans le chic et l’impeccable
La barbe est un signe de virilité pour les hommes
Les femmes apprécient moins un homme barbu
Que faire si on est imberbe ?
La barbe : un conflit intergénérationnel
Être ou ne pas être barbu est surtout une histoire de mode et de génération. Les chiffres parlent d’eux-mêmes.
- 92% des 25 à 34 ans portent la barbe.
- 53% des plus de 35 ans privilégient un visage rasé de près.
- 60% des plus de 50 ans préfèrent un visage glabre.
« Porter la barbe est devenu un nouveau rite de passage à l'âge adulte » révèle Christian Bromberger, ethnologue enseignant à l'université d'Aix-Marseille.
Qualifié d'anthropologue de la barbe depuis la parution de son ouvrage « Le sens du poil », il explique l'évolution des mentalités.
Traditionnellement, la barbe était le symbole de la maturité, voire de la vieillesse avec l’image du vieillard chenu à la longue barbe blanche.
Dans la seconde moitié du 19ème siècle, la barbe était un marqueur social.
Médecins, professeurs, artistes, hommes politiques, tout le monde portait la barbe ou au moins la moustache.
A l’époque, seuls les domestiques étaient tenus d’être bien rasés.
Dans les années 70 de nombreux jeunes portaient une barbe anarchique et des cheveux longs mais les coupaient dès qu’ils commençaient à travailler.
Aujourd’hui, la barbe est le symbole de la jeunesse, avec un côté performeur, la barbe étant celle d’un jeune adulte qui entre dans la vie active sur le mode « start-upeur. »
Le barbu d’aujourd’hui fait dans le chic et l’impeccable
Les Français plébiscitent surtout la barbe de trois jours adoptée par 18% des hommes interrogés, suivi par la barbe courte bien taillée avec 7% d'adeptes.
Deux styles perçus comme tendances, propres et lookés, à l'opposé de la barbe fournie vue comme ringarde.
L'étude de Bic souligne que la barbe est devenue une véritable modalité de l'expression de sa personnalité.
Une vaste majorité (83%) ne compte pas changer sa pilosité faciale.
Bien souvent, les hommes conservent jusqu'à la fin de leur vie le look adopté par leur génération à l'entrée dans la vie adulte.
La barbe est un signe de virilité pour les hommes
L’historien Jacques Gélis dans l’ouvrage collectif « Histoire du Poil » écrit : « Un cliché revient souvent.
Le poil est le signe d’une vigueur physique hors du commun.
Des Hébreux aux Grecs et des Grecs aux Modernes, l’idée qu’il existe un lien étroit entre la forte pilosité et la force physique s’est transmise jusqu’à nous.»
Anne Friederike Müller-Delouis, maîtresse de conférences en anthropologie sociale à l’Université d’Orléans, partage un point de vue similaire :
« L’imaginaire populaire, assimilant le système pileux à la fourrure, y voit un indice d’animalité et d’agressivité sexuelle. Les hommes le cultivent tandis que les femmes le dissimulent.»
Les femmes apprécient moins un homme barbu
L'étude OpinionWay montre que 41% des femmes préfèrent une peau rasée et 14% disent éprouver une impression de négligé face à une barbe.
« Les femmes n'ont pas le même rapport au poil », pointe Christian Bromberger.
« Le poil a encore mauvaise réputation, vu comme lié aux odeurs, dans notre époque contemporaine hygiéniste. »
Que faire si on est imberbe ?
Les hommes qui ont une barbe peu fournie avec des trous ont désormais la possibilité de faire une greffe de barbe.
Elle densifie la pilosité des joues ou bien modifier la forme de la barbe là où c’est nécessaire.
L’intervention se fait sous anesthésie locale en ambulatoire et peut durer entre deux à trois heures.
Il faut en moyenne entre 1000 à 1500 greffons pour reconstituer une barbe entière.
