La réduction mammaire de Lilia

Lilia, 22 ans, est étudiante en sciences de l’éducation et vit en région parisienne. Elle consulte le Dr. Patrick Baraf pour envisager une réduction mammaire.

 

 

A 15 ans, la jeune femme a été opérée d’une scoliose et a perdu à cette occasion 10 kilos. Lilia s’est sentie mieux par rapport à son dos mais sa poitrine est devenue trop grosse et tombe. En plus, comme elle ne se tient pas tout à fait droite, il y a un sein qui est plus haut que l’autre.

Le Dr. Baraf résume : « Lilia me signale une poitrine tombante et un volume trop important qui la gêne bien évidemment dans ses problèmes de dos. Le but de la chirurgie sera de la rendre plus à l’aise avec son corps. Elle aura une poitrine plus petite, plus haute et avec une plus jolie forme. »

Dès la première consultation, le Dr. Baraf insiste sur le contrat qui doit s’établir entre la patiente et le chirurgien. Entre 20 et 30 ans, la compréhension est là, la projection dans le futur est moins là, donc il est évident qu’il y a un aspect professoral dans la consultation. Le chirurgien explique : « L’opération dure 2h30 à peu près, vous allez passer une nuit en clinique, il y aura des cicatrices. »

Lilia choisit ensuite la taille de sa nouvelle poitrine. Ce sera un bonnet B normal, un volume proportionnel à son corps. Actuellement, Lilia fait un C, voire un D au moment de ses règles.

La jeune femme est complètement rassurée après la consultation : « Le chirurgien comprend mon complexe et ça me fait du bien parce je sais qu’il va m’aider. Je veux démarrer une nouvelle vie et que toutes ces années de calvaire soient derrière moi.»

Le but est d’obtenir une femme différente qui reprenne sa vie telle qu’elle la souhaite. Et lorsque ce but est atteint, tout le monde est content.

Le lendemain de l’opération, après le retrait des pansements, Lilia découvre le résultat et est tellement contente qu’elle verse des larmes de joie : « Je vois ma poitrine, mes tétons, j’ai un beau décolleté. Quand je suis assise, ça tient. Je suis trop contente. Je vais enfin pouvoir porter des maillots de bain et courir sur la plage ! Franchement, à partir d’aujourd’hui, c’est fini les complexes. »

Le Dr. Baraf conclut : « Le changement d’éclairage des gens sur leur image que l’on voit dans leurs yeux est une grande merveille pour le chirurgien. La chirurgie classique rend les patients plus sains. La chirurgie esthétique enjolive leur vie et les rend plus heureux. »

 
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