La rhinoplastie de Caroline

Caroline a 28 ans et vit en Normandie. Elle est venue avec son petit ami consulter le Dr. Nathaniel Stroumza pour une rhinoplastie.

 

 

Caroline raconte : « Par le passé, j’ai eu des critiques sur mon nez qui ne m’ont pas vraiment fait plaisir. Au collège, on me disait que j’avais un nez de sorcière ! Toutes ces moqueries, même si je ne les entends plus, sont toujours en moi. Et ce complexe que j’ai depuis des années m’empêche d’être heureuse, de m’épanouir, de voir des gens. »

Le Dr. Stroumza confirme : « Les patientes qui viennent nous consulter ne viennent pas seulement pour un motif esthétique mais souvent aussi pour un problème psychologique. La rhinoplastie n’est pas une simple intervention de convenance, c’est vraiment une demande profonde de la part de la patiente. »

Caroline détaille ensuite au chirurgien toutes les modifications qu’elle voudrait faire au niveau de son nez : « Je n’aime pas la bosse et je n’aime la pointe qui pointe vers le bas. J’aimerais avoir le nez légèrement incurvé en trompette. »

Le chirurgien examine Caroline : « On voit la bosse, elle est assez légère mais elle est présente. Et cette bosse contribue au fait que la pointe tombe légèrement. Je vais donc retirer la bosse, ça va ouvrir le toit du nez. Je vais aussi affiner le dos du nez pour avoir une petite orientation incurvée. La pointe, je la touche au minimum, parce que c’est la pointe qui va influencer sur le côté naturel ou pas. La cicatrice, vous ne la verrez pas, elle sera à l’intérieur des narines. Vous aurez un plâtre après l’intervention qu’il faudra garder une dizaine de jours. »

Après la consultation, Caroline est décidée : « Je suis sûre de mon choix, ça fait tellement longtemps que j’attends cette opération que j’ai hâte ! Mon rêve absolu est d’être une nouvelle personne, de tourner la page. Je pense que la chirurgie esthétique peut vraiment m’aider à m’aimer. »

Le jour de l’opération est enfin arrivé et le Dr. Stroumza est concentré : « La rhinoplastie une opération que techniquement j’aime beaucoup faire. La partie où l’on donne les coups de marteau est la plus stressante pour le chirurgien. La chirurgie du nez, c’est du one shot. En un coup de marteau, on pourra retirer la bosse et changer la vie de la patiente. Mais ça peut aussi la détruire. »

Après sa rhinoplastie, Caroline revient voir son chirurgien pour enlever le plâtre qui recouvre son nez. Impatiente de découvrir le résultat, elle est partagée entre l’excitation et la peur.

Le Dr. Stroumza prévient Caroline : « Le résultat que vous allez avoir aujourd’hui n’est pas du tout représentatif du résultat définitif. Il faut prendre un peu de recul. »

Le chirurgien reste toujours très stressé jusqu’au retrait du plâtre : « On pourra faire le plus beau nez le jour de l’intervention, si la patiente ne l’apprécie pas, ce sera un échec. »

Caroline est très contente de son nouveau nez mais elle a un peu de mal à se reconnaître. Elle explique : « Mon chirurgien a enlevé le poids d’un complexe. Il a fait en sorte que je me sente mieux dans ma tête, mieux dans mon corps. Je lui très reconnaissante par rapport à ça. Et maintenant, il faut que j’apprenne à vivre avec ça, que j’accepte mon nouveau corps. »

C’est une nouvelle vie qui commence pour Caroline !

 
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