Qui peut prescrire les analogues du GLP-1 ?
En France, la prescription des médicaments à base d’analogues du GLP‑1 était initialement réservée aux endocrinologues, diabétologues ou médecins spécialisés en nutrition.
Depuis l’actualisation des règles par l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de santé (ANSM), tout médecin — généraliste ou spécialiste — peut initier un traitement par AGLP, dans le respect des indications prévues.
Cette évolution facilite l’accès pour les patients concernés.
Un suivi structuré et coordonné
Une fois le traitement commencé, le médecin traitant assure le suivi : tolérance, évolution du poids, glycémie, HbA1c, et ajustement des doses.
Le spécialiste peut intervenir pour les situations plus complexes.
L’ANSM maintient une surveillance continue : mise à jour des règles, suivi des effets indésirables et prévention des mésusages.
La qualité du traitement repose sur une collaboration régulière entre le patient et l’équipe soignante, afin de garantir sécurité et efficacité.