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Le Dr. Michael Atlan, chirurgien spécialisé en esthétique et reconstruction de la poitrine à l’hôpital Tenon, répond à toutes vos questions sur l’augmentation mammaire.

L’âge idéal pour une augmentation mammaire?

Il n’y a pas d’âge idéal et n’ayez aucun jugement de valeur sur le fait de vous faire opérer des seins si vous en avez envie. C’est une chirurgie de confort. Il y a deux pics : Entre 20 et 30 ans, la jeune femme qui n’a pas de seins, qui a toujours voulu, etc. Et après 40 – 45 ans, la femme plus mûre, qui a fait ses enfants, qui a envie d’avoir un joli décolleté.

Anesthésie générale ou anesthésie locale ?

La chirurgie mammaire c’est toujours sous anesthésie générale, soit en ambulatoire, soit avec une nuit en clinique. Ça dépend des chirurgiens.

Faut-il faire une mammographie / échographie avant une augmentation mammaire?

Dans le bilan pré-opératoire, la mammographie n’est pas toujours obligatoire. On peut ne pas le faire chez les femmes jeunes – avant 30 ans – et sans antécédents familiaux de cancer du sein. Il y a des chirurgiens qui le font, il y en a qui ne le font pas. Au-delà de cet âge, il faut faire une mammographie, une échographie, c’est important.

Est-ce qu’il vaut mieux avoir un enfant avant ou après une augmentation mammaire ?

Si vous voulez un enfant dans les 2 ans, je pense qu’il faut privilégier l’enfant et moins les seins. Pourquoi ? Vous allez vous faire opérer, vous allez attendre 2 – 3 mois que votre résultat se stabilise, vous tombez enceinte un an et demi plus tard et il y a le risque que la grossesse, la montée laiteuse, l’élongation de la peau, la perte d’élasticité endommage le résultat. Même si vous essayez de ne pas trop fluctuer de poids pendant votre grossesse, on ne peut malheureusement pas prédire à l’avance qui va endommager son résultat ou pas.

Est-ce qu’on peut corriger les seins asymétriques avec des prothèses mammaires ?

L’asymétrie mammaire est très bien prise en charge par les prothèses mammaires. Je préfère mettre deux implants identiques quitte à corriger la différence avec de la graisse s’il y en a parce que mettre deux prothèses différentes, c’est deux poids différents de chaque côté du sein et ce n’est pas toujours facile à régler. Quand ça se joue à très peu, par exemple 360cc d’un côté et 300cc de l’autre, ça va mais lorsqu’on est à 200cc et 400cc c’est dur de bien corriger les asymétries.

Est-ce qu’on peut rétrécir l’écart entre les deux seins avec des implants mammaires ?

Oui mais tout dépend de la position de vos mamelons au départ. On ne peut pas tout décider parce que l’implant doit centrer le mamelon. Si vos mamelons sont bien centrés, alors il sera facile de mettre l’implant au milieu et de réduire l’écart. Mais si vos mamelons sont externalisés sur le côté, on aura du mal à mettre l’implant au milieu et il y aura un plus gros écart. Parfois on triche un peu, on latéralise plus le sein, ça fait un sein qui est peu spécial mais ça permet de gagner un petit peu de galbe.

Est-ce qu’on peut corrige les seins tubéreux avec des implants mammaires ?

Les seins tubéreux, ce sont des seins assez rétrécis, qui de profil, ont un aspect de trompe sans vraiment de volume dans la partie inférieure. C’est une malformation qui est extrêmement fréquente. Les seins tubéreux, ça se traite soit en remodelant la glande, en la répartissant là où il en manque en bas, en rétrécissant l’aréole, en donnant du volume avec des prothèses ou un lipofilling.

Quelle est la différence entre une prothèse anatomique et une prothèse ronde ?

Les prothèses anatomiques, ce sont des implants mammaires qui épousent naturellement la forme du sein. Elles sont plates en haut et bombées dans la partie inférieure. Si ces prothèses tournent, elles déforment le sein. Les prothèses rondes sont très bombées au-dessus – c’est ce qui fait un peu « fake » dans une augmentation mammaire – mais elle si elles tournent, le sein garde sa forme.

Cette opposition entre ces deux types de prothèses s’est considérablement atténuée ces dernières années. D’une part, on dispose de prothèses rondes de 2ème génération – comme Motiva Ergonomie ou Sebbin Nanoskin – avec un gel de silicone plus mou qui va s’aplatir du fait du poids de la prothèse et simuler une forme anatomique. D’autre part, on pratique de plus en plus l’augmentation mammaire hybride – associant des prothèses et l’adjonction de graisse – qui donne un rendu très naturel.

Prothèses mammaires anatomiques, risque qu’elles tournent ou pas ?

Pour empêcher la rotation de l’implant anatomique, deux choses sont essentielles. Il faut utiliser des prothèses texturées qui accrochent devant le sein et le chirurgien doit faire une loge très serrée autour de l’implant.

Gel de silicone ou sérum physiologique pour les implants mammaires ?

Les implants mammaires avec du sérum physiologique ne sont plus trop dans l’air du temps. On est plutôt sur du gel de silicone avec des super propriétés. De plus, en raison d’un problème d’autorisation à renouveler, on ne peut plus poser pour le moment d’implants avec du sérum physiologique.

Le seul avantage des implants avec du sérum physiologique, c’est en cas de rupture. Le sérum physiologique, c’est de l’eau salée. S’il y a une rupture, il n’y a rien à faire, le sein se dégonfle. Simplement ça changera beaucoup la forme du sein.

En cas de rupture d’un implant avec du gel de silicone, il faut changer la prothèse. Si la rupture est intra-capsulaire, on peut attendre avant de remplacer les implants et on programme l’intervention tranquillement. Si la rupture est extra-capsulaire, le gel de silicone peut toucher le tissu glandulaire, l’irriter de temps en temps, parfois aller dans les ganglions et il ne faut pas attendre plus de 3 à 6 mois avant de changer les implants.

Par où on passe pour insérer un implant mammaire ?

Première voie d’abord : Dans l’aisselle. Si c’est bien fait, la cicatrice ne se voit quasiment pas. Mais une fois que l’implant est mis, si jamais il y a une complication, on est souvent amené à utiliser une autre voie d’abord que l’aisselle pour faire la reprise.

Deuxième voie d’abord : Autour de l’aréole. Les cicatrices se voient très peu parce que la peau de l’aréole est teintée. Seul problème, cette technique augmente légèrement le taux de coque.

Troisième voie d’abord : Près du mamelon mais on ne peut pas mettre des implants très gros et parfois ça diminue la sensibilité du téton.

Quatrième voie d’abord : La voie sous-mammaire qu’on peut faire de très petite taille – entre 2,5 et 4 centimètres – grâce à des introducteurs spécialisés. Cette technique permet d’accéder à des plus grandes tailles de prothèses et surtout à un très bon contrôle du sillon sous-mammaire qui est un élément déterminant de l’esthétique du sein.

La prothèse mammaire devant ou derrière le muscle ?

Suivant l’épaisseur de la glande mammaire située au-dessus de l’implant, on le positionne devant ou derrière le muscle pour éviter de voir des plis.

Derrière le muscle, ça fait un petit peu plus mal parce qu’on coupe du muscle. Avantages : Ça diminue le taux de coque et le muscle aplatit la prothèse ronde sur le haut et la rend anatomique. Mais ce n’est plus vrai avec les nouvelles prothèses rondes qui prennent assez naturellement une forme plus anatomique même lorsqu’elles sont posées devant le muscle.

Le défaut majeur de derrière le muscle – même si on peut le diminuer beaucoup mais jamais complètement – c’est ce qu’on appelle « l’animation de la prothèse » : Quand vous serrez les muscles de la poitrine, les prothèses bougent.

Devant le muscle, ça fait moins mal et si jamais c’est un peu juste – moins de 2 à 3 centimètres d’épaisseur de la glande mammaire – on rajoute de la graisse. Ça permet vraiment d’obtenir de très jolis résultats.

Qu’en est-il des drains ?

Les drains ne sont pas obligatoires. Ils sont de plus en plus rares, c’est au choix du chirurgien.

Peut-on diminuer la douleur ?

Il y a une anesthésie – le Pec Block – où on injecte sous le muscle des produits qui permettent de diminuer la douleur. C’est garant d’une meilleure récupération mais ça n’enlève pas complètement la douleur post-opératoire des premiers jours. Le réveil est plus facile. Ça dépend de l’anesthésiste et tous ne le proposent pas.

Est-ce que l’augmentation mammaire modifie la taille du téton ?

La taille non mais assez souvent, comme il y a la pression de l’implant derrière la peau, ça fait ressortir plus le mamelon. Ça peut être assez douloureux pendant le premier mois, parfois même l’effleurement du T-shirt est irritant. Théoriquement, la voie sous-mammaire protège un peu mieux les tétons au niveau des sensations mais c’est toujours un débat scientifique. A noter que les sensations érotiques sont souvent augmentées par l’augmentation mammaire.

Peut-on éviter l’effet bombé des seins avec des implants mammaires ?

Oui, on peut éviter l’effet bombé des seins en mettant des prothèses pas trop projetées, en mettant un peu de graisse qui fera moins d’effet de volume sur le haut et en redescendant un petit peu l’implant.

Est-ce que je peux garder les prothèses mammaires à vie ? Dois-je les changer au bout de 10 ans ?

Aucun praticien n’a le droit de vous dire que les prothèses mammaires c’est à vie. Elles ont une durée de vie limitée. Mais s’il n’y a pas de rupture – 1% de risque – s’il n’y a pas de coque – 5% à 15% de risque – si le résultat vous plaît toujours, gardez vos prothèses, il n’y a aucune raison de les remplacer systématiquement au bout de 10 ans.

Est-ce qu’on peut allaiter quand on pose des implants mammaires ?

En général, si vous pouviez allaiter avant votre augmentation mammaire, vous pourrez allaiter après. Lors de la pose de la prothèse, on n’interrompt pas les connections entre le mamelon et la glande mammaire. On passe sous la glande ou sous le muscle mais jamais on ne désinsère le mamelon de la glande. De même, si la prothèse se perce, elle est sous la glande, donc elle n’abîme la glande suffisamment pour empêcher qu’elle soit fonctionnelle.

Quels sont les dangers des prothèses mammaires ?

Dangerosité au niveau du cancer du sein ? Aucune. En tant que reconstructeur du sein j’utilise des prothèses en silicone depuis des années et ça n’a jamais posé un quelconque problème.

Dangerosité au niveau du lymphome à grandes cellules ? C’est une pathologie liée à la macro-texturation des prothèses Biocell d’Allergan. C’est une maladie qui est 400 fois plus rare que le cancer du sein. Elle est guérissable dans 95% des cas. On enlève l’implant et la capsule et ça s’arrête là. En 2019, l'Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de santé (ANSM) a interdit les implants macro-texturés et autorise uniquement les prothèses lisses ou micro-texturées.

Faut-il prendre du poids avant un lipofilling des seins ?

Non. Ça va empêcher le chirurgien de prélever plus de cellules. Ça ne sert à rien. C’est un faux calcul. Si vous êtes à votre poids de forme, que vous avez une culotte de cheval, une face interne de cuisse, des genoux, un ventre, là ça va être parfait.

Pourquoi ? Vous naissez avec un nombre de cellules graisseuses prédéterminé génétiquement. Quand vous prenez du poids, vos adipocytes augmentent de volume. Si vous grossissez avant un lipofilling mammaire, je vais prélever des gros adipocytes et je vais injecter des gros adipocytes. Si j’en injecte deux, lorsque vous allez remaigrir, la taille de vos adipocytes va rétrécir et vous allez perdre beaucoup de volume. Mais si j’en injecte 10 petits au lieu de deux gros, vous allez être gagnante. Le volume occupé va contenir des cellules graisseuses qui, si vous grossissez, vont grossir encore plus.

Le résultat du lipofilling mammaire est-il définitif ?

L’évolution normale c’est quoi ? On vous injecte de la graisse, au départ c’est énorme, vous avez des seins très gros mais ça va dégonfler et vous ne garderez que 60% de la graisse au bout de 3 mois. Mais ces 60% que vous gardez, c’est à vie, ça ne disparaîtra pas.

Est-ce qu’on peut utiliser la graisse de quelqu’un d’autre pour un lipofilling ?

Non sauf dans le cadre de jumeaux strictement identiques. C’est tout.

Peut-on faire une vraie liposuccion en même temps qu’un lipofilling mammaire ?

Bien sûr mais attention parce qu’on est limité dans la quantité de graisse qu’on peut injecter dans les seins. Si on fait une trop grosse lipoaspiration, une partie de la graisse récupérée va aller à la poubelle et c’est dommage en sachant que vous allez peut-être avoir besoin d’une 2ème session de lipofilling. Vous aurez perdu la graisse qui aurait été bien utile.

Moi j’injecte entre 300cc et 500cc de graisse dans les seins, parfois un peu moins, parfois un peu plus. Si on exagère, le sein devient tout blanc au niveau des points d’injection, la graisse ressort tellement elle est sous tension et ça c’est exactement ce qu’il ne fait pas faire parce que ça tue la graisse.

Et si on est mince, le lipofilling des seins est-il possible ?

Oui à condition d’avoir un objectif réaliste. Si vous êtes un bonnet B et que vous voulez monter à un bonnet B+ ou un petit C, ça peut marcher sur une patiente avec un peu de ventre, un peu de hanches. Mais vous voulez faire un bonnet C+ ou D, oubliez la graisse ou alors il faut ajouter une prothèse.

C’est quoi les cicatrice d’un lipofilling ?

Elles sont très petites – 1 centimètre maximum – situées sur la face interne des genoux, près des grandes lèvres, dans des sillons, dans la culotte, etc. puis on les ferme de façon assez esthétique. Parfois, ça laisse des petites traces un peu brunâtres et, au pire des cas il y a du laser post-chirurgical qui peut effacer ces petites dyschronies.

Effets secondaires du lipofilling ?

Ce sont les défauts de la lipoaspiration, c’est anodin mais il faut y penser. La résorption de la graisse : on a dit au moins 40% dans les 3 mois. Il peut y avoir des petits kystes liés à une injection de graisse trop excessive. La seule chose gênante, c’est la « cytose stéatonécrose », c’est la graisse qui nécrose et qui devient dure. Il faut la surveiller, parfois l’enlever ou la fragmenter. Problèmes d’allaitement ? Il n’y en a pas.

Et les suites post-opératoires ? Douleur, reprise, travail ?

Vous vous faites opérer, vous sortez le lendemain ou le jour même, vous avez des pansements tous les jours selon les indications des chirurgiens, vous avez un soutien-gorge que vous allez devoir garder entre 4 à 6 semaines, on va vous demander de ne pas trop lever les bras, derrière le muscle ça fait un peu plus mal que devant le muscle, vous pourrez reprendre des activités sportives au bout de de 4 à 6 semaines, ça dépend des chirurgiens. Il y a une meilleure récupération après les augmentations mammaires devant le muscle.

Après la lipoaspiration associée au lipofilling, il faudra mettre un panty pendant 6 semaines et au bout de 2 à 3 mois vous pourrez juger du résultat. N’ayez pas peur, il y a un sein qui va bouger un petit peu, rester un peu plus en haut, vous ne pourrez juger du résultat qu’au bout de 3 mois. Ne vous affolez pas. C’est le rôle des rendez-vous post-opératoires de vous détendre là-dessus.

Quelle prise en charge pour une chirurgie d’augmentation mammaire ?

La prise en charge répond à des critères très précis pour des prothèses mammaires et c’est assez rare : L’absence totale de sein – l’amastie ¬–, l’absence de sillon sous-mammaire, parfois une très petite aréole qui justifie l’amastie et les seins tubéreux. Si le chirurgien juge que c’est utile, il vous donne une demande d’entente préalable sous le code « QEMA004 ». Pour les seins tubéreux réels c’est quasiment toujours acquis, pour les amasties on a la moitié des demandes qui sont rejetées parce que c’est un peu limite.